Octobre 2017 : direction Ibiza ! A moi la saison de clôtures des boîtes de nuit, les cocktails à l’infini sur des sons de boum-boum, et… Je blague. Enfin, c’est ce que j’imaginais quand on m’a proposé de venir à Ibiza. On peut dire que je suis tombée des nues, ou presque.
Tourner la page des aprioris n’était pas la chose la plus facile à faire : comment éviter la culture luxuriante d’une île autrefois hippie, devenue reine des boîtes de nuit ?
C’est non sans cette petite boule au ventre du « qu’est ce que je fiche ici » que j’ai posé le pied sur Ibiza. L’arrivée à l’aéroport n’est pas des moins intimidantes, et vous offre son plus beau patrimoine commercial : une boutique le Pacha (aka, la boîte de nuit de David Guetta). Mes voeux d’écolo-intello s’en sont allés… Pas si loin du désespoir total se trouvait aussi ma fièvre qui ne faisait que pousser. Les meilleures conditions pour voyager, donc.
Dès le second jour, je me suis laissée enivrée – avec un peu d’aide d’une sangria bien dosée – mais surtout grâce aux douces effluves iodées de l’eau qui semble encore plus belle qu’à Crozon – mais non ça c’est pas possible, – et à l’envie irrépressible de sauter dedans (dans tous les sens du terme) !
J’ai très peu de photographies de ce voyage-là – hormis moultes coucher de soleil: preuve que j’en ai profité de ce farniente ambiant ! Au programme, c’était principalement, plage, bronzette et bons dîners. Ce qui est loin d’être des plus déplaisants.
Enfin, voici quelques recommandations si vous comptez aller à Ibiza :
Les plages :
- Cala d’Hort
- Experimental Beach Club (le nom fait rêver, je sais…)
Le marché avec des créateurs locaux :
- San Juan Artisan Market
xoxo
Elena sans H